Si vous pensez qu’une situation est perdue, essayez d’imaginer ce que vous pourriez faire pour ne pas perdre une personne qui vous est chère.

Ensuite, pensez à ce que vous pourriez envisager, pour faire plaisir à cette personne si, vous craignez ne plus la revoir quoi qu’il puisse arriver au cours de vôtre vie.

Il y a une chose que vous ne devez pas n’oublier, c’est qu’une histoire peut être longue c’est vrai mais, elle peut être remplie d’une infinie tendresse et, de beaucoup de douceur.

Et, si vous savez en prendre soin et, que vous comprenez qu’elle peut tout arranger, et cela, quoi qu’il puisse arriver, alors, c’est que vous pouvez aimer de tout vôtre cœur sans crainte, aussi longtemps que vous vivrez.

Il y a très longtemps de cela, une vieille femme se souvenait de ses chères années passées avec sa petite fille.

La petite fille se prénommait Eugénie et, sa mère Mélancolie, elles étaient toutes 2

si heureuses, qu’elles ne voyaient pas toujours le temps passer.

Ce fût des années tendres où le bonheur remplissait leur maison chaque jour, un peu, comme le parfum des fleurs qui embaument la vie comme les maison, les premiers jours au printemps.

Chaque jour au réveil, la petite fille Eugénie embrassait la douce joue de sa mère Mélancolie.

Avant d’aller à l’école, Eugénie embrassait sa mère tendrement sur la joue et, tout en lui disant au revoir de la main, sa mère lui souriait avec douceur.

Après chaque fin de journée, quand Eugénie rentrait chez elle, elle avait avec un sourire rayonnant de joie et, elle embrassait sa mère sur la joue.

Quand elle alla prendre son goûté dans la cuisine, elle alla aussitôt dans sa chambre pour faire ses devoirs.

Mais, avant d’aller dans sa chambre, Eugénie embrassait toujours sa mère et, sa mère lui souriait toujours en lui faisait un beau câlin.

Et, chaque soir après le souper, Eugénie embrassait toujours sa mère avant d’aller se coucher et, sa mère lui racontait toujours de  beaux contes de fées.

Quand il n’y avait pas école ou alors quand Eugénie était en vacances, celle-ci faisait de beaux dessins à sa mère, qu’elle accrochait sur le mur de la cuisine ou bien, elle lui écrivait de jolies poésies.

Et, quand le mur de la cuisine était presque remplit de dessins et, de poésies, sa mère Mélancolie, enlevait les dessins et, les poésies du mur et, elle les gardait précieusement dans une belle boîte à chaussure dans sa chambre et, au fur et à mesure, elle en accrochait d’autres sur le mur.

D’autres fois, toutes 2 allaient faire de belles promenades et, se parlaient longuement.

Les années ont passé, Eugénie devint une jeune et, belle femme puis, se maria avec un beau jeune homme, qui lui, avait une belle situation.

Et, comme tous les enfants, arrivé à l’âge adulte, ils quittent le nid douillet de leur maison et, prennent leur envol.

Eugénie pris régulièrement des nouvelles de sa mère, pour ainsi dire chaque jour en téléphonant.

Elle lui envoyait égalment, presque chaque jour de belles lettres, des poésies et, lui racontait ce qu’elle faisait de ses journées.

Et ainsi, les années passaient mais, Mélancolie vieillissait et, se sentait bien triste et, bien seule aussi dans sa grande maison.

Le temps passa et, les années passaient et, Mélancolie s’ennuyait de plus en plus et, se languissait de revoir sa chère fille Eugénie revenir à la maison.

Parfois, elle alla s’asseoir sur le fauteuil près de la fenêtre du salon et, regardait tristement le jardin, la tête pleine de souvenirs.

Mais un jour, Mélancolie tomba malade, une voisine qui venait souvent lui rendre visite, téléphona à Eugénie pour lui annoncer la nouvelle.

Celle-ci prit le train le jour même et, revint chez sa vieille mère, le médecin de famille qui était au chevet de Mélancolie, rassura Eugénie, sa mère avait juste pris froid, il n’y avait pas de quoi s’alarmer mais, avec l’âge, il est vrai qu'il faut faire attention car, en vieillissant, on devient fragile.

Eugénie resta alors quelques jours chez sa mère et, quand Mélancolie alla mieux et, qu’elle put se lever, elle confia à sa fille, qu’elle s’ennuyait et, qu’elle espérait la voir revenir à la maison plus souvent.

Eugénie l’écouta attentivement et, lui expliqua que ce n’était pas possible car, à présent, elle avait sa vie de femme.

Après avoir évoqué de longues heures leurs plus beaux souvenirs et, les jours heureux qu’elles avaient connu toutes 2, Eugénie eut une idée lumineuse.

Le lendemain, tôt dans la matinée, Eugénie alla dans le petit cabanon du jardin, elle trouva une vieille boîte en bois, des perles de toutes les couleurs, du fil de nylon, des aiguilles à coudre, de morceaux de tissus, un joli fermoir doré, comme ceux que l’on faisait autrefois, de la peinture, quelques pinceaux, quelques outils, elle pris un tabouret et, se mise au travail sans plus tard.

Une fois le travail terminé, elle alla dans sa chambre, cacha la boîte dans sa belle et, grande armoire et, alla rejoindre sa mère dans ma cuisine et, soupèrent ensemble.

Le soir venu, avant de s’endormir, Eugénie pris la boîte dans son armoire, s’essaya en tailleur sur le lit et, remplit la boîte de pensées.

Elle mis à l’intérieur de la boîte 2 photos, l’une des photos, c'était quand était encore une enfant et, l’autre photo, date du jour de son mariage, elle ajouta, une petite poésie, un petit bouton rose en forme de cœur, une petite fleur, un joli ruban, un joli peigne à cheveux, un tout petit ourson en peluche qui n’était pas plus grand que le creux de la main, un collier de perles, un petit carnet avec qu’un stylo puis, elle referma la boîte.

Le lendemain dans l’après-midi, comme il faisait beau, Eugénie prépara la table du jardin pour prendre le thé avec sa mère.

Elle alla cherché sa mère dans la salon et, comme elle le faisait enfant, elle embrassa avec tendresse la joue de sa mère, lui pris doucement la main et, l’emmena dans le jardin.

Tout en prenant le temps de prendre le thé et, de savourer quelques petits gâteaux, Eugénie offrit la boîte à sa mère et, lui dit :

« ma douce maman, je sais et, je comprends que tu t’ennuies et, que tu aimerais beaucoup que je revienne vivre avec toi à la maison mais, tu sais, maintenant j’ai ma vie de femme.

Alors, je me suis dit qu’un petit cadeau te ferais plaisir, c’est une boîte à pensées, chaque jour quand tu l’ouvriras, tu trouveras une de mes pensées.

Ces pensées sont exclusivement pour toi et, pour personne d’autres.

Il te faudra faire très attention car, si tu fais tomber la boîte à pensées, toutes les pensées que j’ai mise à l’intérieur s’envoleront et, elles seront toutes éparpillés.

Et, tu sais comme moi, que les enfants adorent les petits mots tout doux et, les petits bisous tout tendres.

Il te faudra bien te souvenir de prendre une pensée par jour, sinon, tu vas toutes les usés et, tu n’en auras plus jusqu’à la fois prochaine.

Je t’ai fabriqué cette boîte à pensées pour que tu ne sois plus triste.

Et, quand la boîte sera vite, chaque fois que je reviendrais, je remettrais d’autres pensées à l’intérieur.

Il ne faut surtout pas oublier de refermer la boîte chaque fois que tu prendras une pensée, sinon, elles s'envoleront toutes et, tu n'en auras plus jusuqu'à la prochaine fois.

Dis moi ma douce maman, est-ce-que tu as bien compris comment utiliser chaque pensée ? »

« Oui, oui, ma petite fille, j’ai bien compris » : Lui répondit Mélancolie.

Eugénie dut reprendre le train pour rentrer chez elle et, les jours suivants, Mélancolie ouvrir avec beaucoup mais, beauccoup de précaution la boîte à pensées que sa fille lui avait offert.

Et, chaque jour, Mélancolie pris une pensée, comme le lui avait recommandé sa fille Eugénie et, elle se sentie heureuse, comme le lui avait dit sa fille.

Mais un jour, sans le faire exprès, Mélancolie fit tomber la boîte et, toutes les pensées se sont envolées.

Quelle catastrophe, les pensées de Eugénie sont toutes parties !

Mélancolie alla dans la salon et, téléphona à sa fille pour le lui dire tout de suite.

Bien sûr, Eugénie rassura sa vieille mère et, lui dit de ne pas s’inquiéter car, elle arrivera bientôt pour passer le week-end à la maison et, elle remplira à nouveau la boîte avec d’autres pensées.

Cette idée de boîte à pensées fonctionnait à merveille et, Mélancolie ne se sentait plus du tout triste et, fût même heureuse de découvrir chaque jour les pensées de sa chère enfant.

Mais, la vie de Mélancolie toucha un jour à sa fin et, bien plus tard, quand Eugénie était devenue à son tour grand-mère, ce fût à son tour d’avoir la boîte à pensées.

Elle échangea ainsi, ses pensées avec celles de son petit fils pendant de très longues années.

Elle a su conserver avec soin la boîte à pensée pendant de nombreuses années, puis un jour, elle transmis la boîte à pensées à son petit fils Damien.

Qui lui, en pris grand soin aussi et, chaque fois que Damien alla voir sa vieille mère Eugénie, il remplissait chaque fois, la boîte de ses plus belles pensées que sa mère découvrait chaque jour, jusqu'au dernier souffle de vie de Eugénie.

Et, il en fût ainsi pendant très longtemps encore, même après que Damien fût devenu un vieil homme lui aussi.

Swenty

 

 

 

 

A bientôt

 

 

 

 

 

 

 

 

Parfois, l'été, c'est la saison idéale pour apprécier les choses les plus simples de la vie

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans la vie, il y a ces petites choses amusantes que l'on peut faire librement avec peu de choses et, un brin d'imagination