VEF Blog

Titre du blog :
Auteur : swenty
Date de création : 24-06-2023
 
posté le 02-08-2023 à 05:45:36

La petite montgolfière de l’espoir

 
 

 
 

 

 

Normalement, cette histoire est faite pour les jeunes enfants mais, rien ne vous empêche de la lire vous-même et, de la lire à vos jeunes enfants ou à vos jeunes petits enfants.


Il était une fois, une adorable petite fille qui vivait chez son grand-père, et tous deux, coulèrent des jours heureux à la montagne.

Orpheline de naissance presque, elle fût conduit chez son grand-père, qui habitait un magnifique chalet en haut de la montagne.

La fillette était âgé de 5 ans quand elle fût conduite chez son grand-père, cette petite fille se prénommait Aidèsse.

Son grand-père, se prénommait Ange mais, tous les gens du village situé en bas de la montagne, l’appelaient : l’homme de la montagne.

Il était né dans le chalet et, y vécu toute sa vie, il connaissait toute la montagne par cœur,

il connaissait tous les arbres, surtout les grands sapins, ainsi que chaque animal qui vivait dans la forêt.

L’homme de la montagne connaissait si bien sa montagne, qu’il savait quand viendrait chaque saison et, à à quel moment les saisons allaient arriver, il savait écouter le chant du vent, la mélodie de la pluie et, il reconnaissait le moindre bruit aux alentours.


Aidèsse visita le chalet de son grand-père et, à l’étage, où se trouvait le grenier, elle décida tout de suite où serait sa chambre, elle y trouva un petit lit à sa taille, du foin et, des sacs de tissus plus grand qu’elle tant elle les trouva grands, ce qui la fit rire aux éclats, et tout, absolument tout était propre dans le chalet.

Si tout était toujours bien propre dans le chalet, c’est parce que le grand-père de la petite Aidèsse nettoyait chaque jour son chalet, y compris le grenier.

La chambre où Aidèsse allait dormir, était la chambre de son père quand il était encore enfant et,

un jour, il quitta son père, le chalet et, l’immense et, belle montagne où il avait passé une partie de sa vie, pour se marier et, aller vivre dans une grande ville.

L’homme de la montagne perdit sa bien aimée, alors qu’elle allait à la rencontre du petit berger, le brouillard arriva et, était aussi épais que de la mie de pain.

Quand le vent se mis à redoubler d’un seul coup, le brouillard se dissipa vite mais, la bien aimée de l’homme de la montagne s’était retrouvée à hauteur du vide, le vent l’avait transporter jusque là et, l’emporta avec elle dans le précipice.

Quand au fils de l’homme de la montagne, il fût malheureusement, atteint d’une terrible maladie, les parents de la petite Aidèsse succombèrent l’un après l’autre et, la petite fillette fût pris d’un chagrin si dur, qu’elle finit dans un profond silence sans pouvoir parler.


Quelques temps après, elle fut conduite au chalet chez son grand-père, celui que l’on nommait : l’homme de la montagne.

Mais, cette profonde triste que ressentait la petit Aidèsse fût oublié assez vite, presque le jour même car, elle eut un énorme coup de cœur pour le chalet de son grand-père ainsi que pour la montagne.

Aidèsse fût si heureuse, qu’elle ne pouvait pas se contenir, elle pleurait de tout son cœur et, rirait aux éclats à la fois.

Elle se laissa tomber sur les genoux à même le plancher en bois devant son grand-père, les yeux débordants de joie et, noyés de larmes et, lui dit :

Ô grand-père, mon grand-père à moi !

Tu m’as donné une maison et, j’ai même ma propre chambre !

J’adore cette montagne !

J’adore la maison tout entière !

Tout est si beau ici !

Ô, si tu savais papé comme je suis si heureuse !

Le bonheur qui envahissait la petite fillette était si grand, qu’il éclata partout dans le chalet, à un point tel, que ses éclats de rire raisonnaient dans tout le chalet.

Profondément ému, l’homme de la montagne qui, pourtant était un homme costaud, ne put retenir ses larmes tant le bonheur l’envahissait lui aussi.

Enfin, après des années à vivre dans une amère solitude, la joie de vivre qu’il avait jadis perdu,

fût retrouvée grâce à son adorable petite fille.


Un petit garçon du village fût nommé le petit berger dès l’âge de 7 ans, il avait la charge d’attendre sur la place du village les fermiers qui lui apportèrent leurs chèvres et, leurs moutons.

Il faut dire que le petit berger avait une grande responsabilité avec ce grand troupeau mais, il fît son travail consciencieusement et, chaque année, c’est lui qui s’occupait des moutons et, des chèvres.

Le petit berger se prénommait Augustin et, peu avant le lever du jour, Augustin , devait se lever très tôt et, cela dès le printemps venu jusqu’à la fin de l’automne.

Lui aussi, il connaissait la montagne par cœur, il connaissait le moindre bruit aux alentours,

il connaissait le nom de chaque mouton et, de chaque chèvre aussi, il était même capable de reconnaître chaque animal dans la montagne ainsi que leur cri et, il ne se trompait jamais.

Comme à son habitude, il siffla très fort à quelques reprises et, se mit aussitôt en chemin avec tout son grand troupeau.

Il devait marcher très longtemps pour arriver au chalet de l’homme de la montagne, ensuite,

il grimpa les petites collines et, arriva devant haut le grand chalet de l’homme de la montagne.

Il siffla toujours joyeusement avant de saluer l’homme de la montagne, et, alla librement chercher les moutons et, les chèvres dans la bergerie et, part aussitôt pour passer toutes les journées dans les pâturages avec tout son grand et, beau troupeau.


Oh mais, j’ oubliais ! Mais, où ais-je tête ! Je suis tellement prise dans mon histoire que j’ai oublié de vous parler du chien de l’homme de la montagne.

Et oui, le petit berger partait toujours avec le gros chien de l’homme de la montagne, oui bien sûr,

ce chien là, paraissait toujours un peu pantouflard car, il aimait beaucoup dormir.

Mais, même si ce gros patapouf passait le plus clair de son à dormir ou alors, a croquer les petits escargots qu’il trouvait ci et là, il avait toujours une oreille attentive, au cas où si, Augustin, le petit berger aurait des ennuis.

Car, la montagne est très belle, il faut le reconnaître mais, la montagne a ses dangers aussi,

comme le temps est souvent changeant en pleine montagne, et bien, quand l’orage arrivait accompagné de grands et, de gros bruits, ils peuvent raisonner en éclatant très fort.

Les éclaires faisaient d’énormes zig, zag dans le ciel et, c’est vrai que ces orages là, peut être impressionnant ou faire peur mais, c’est comme cela dans la montagne.

Et, quand le brouillard se fait tellement épais, il n’est pas prudent pour une jeune chèvre ou un jeune mouton de sortir du troupeau car, si le vent souffle et, qu’il y a en plus de fortes rafales, il peut conduire le jeune animal tout droit au précipice.

C’est pour cela que vagabond, ce gros chien aux apparences pantouflard a toujours, toujours une oreille attentive, un bon gros chien toujours prêt aidé le petit berger ou un petit mouton ou bien une petite chèvre.


Avec ces quelques outils, l’homme de la montagne fabriquait de ses mains des objets en bois,

des jouets en bois, ainsi que son fromages avec le lait de ses chèvres.

Deux fois par semaine, il descendait au village en bas de sa belle montagne pour vendre tous ses objets ainsi que ses fromages et, avec l’argent qu’il gagnait, il s’achetait 2 gros pains rond, ce qui lui suffisait amplement.

Ah mais, j’y pense, peut-être ne le savez-vous pas.

Il y a très très longtemps, dans les petits villages, il n’y avait pas plus d’une ou deux boulangeries et, le pain noir était réservé aux plus pauvres et, le pain blanc était réservé aux gens plus aisés.

Quand tout le monde entendait un sifflement joyeux, c’est qu’on savait quand le petit berger avait finir sa journée au pâturage et, à quel moment il redescendait au village.

Chaque matin, quand Augustin allait chez l’homme de la montagne, il laissait toujours le petit berger aller tout seul chercher les moutons et, les chèvres dans la bergerie, il n’oubliait jamais de lui donnait tous les jours un beau sac dans le quel il y avait une petite collation pour le milieu de la matinée et, le déjeuner pour le midi.

Le petit berger se régalait toujours car, il adorait le fromage, la charcuterie et, le pain que l’homme de la montagne lui donnait chaque matin.

Dîtes-moi, savez-vous ce que le petit berger buvait ?

Non, non, ce n’était pas du vin.

De l’eau, non, enfin si, il en buvait mais, à la fontaine du village mais, pas quand il était au pâturage avec son beau et, grand troupeau.

Je vais vous le dire, et bien, le petit berger buvait du lait de chèvre à même le pis d’une chèvre.

Une fois arrivé au pâturage, Augustin laissait son troupeau brouter librement toute l’herbe qu’il voulait et, pendant ce temps, il faisait une petite sieste et, c’était bien normal car, le petit berger se levait très tôt les matins, il fallait bien qu’il se repose un peu.


Dès le lendemain matin de son arrivée au chalet de son grand-père, Aidèsse prit l’habitude de se lever au moment où elle entendait le petit berger siffler.

Et hop, elle descendait toujours d’une traite du grenier où était sa chambre, elle courrait

jusqu’à l’abreuvoir situé devant le chalet de son grand-père, elle se lavait le visage et, se brossait les dents.

Elle faisait d’elle-même sa toilette chaque matin, son grand-père ne disait jamais à sa petite fille d’aller faire sa toilette car, elle avait très vite pris cette initiative d’elle-même.

Et, avec la permission de son grand-père, elle eu la joie d’accompagner tous les jours le petit berger au pâturage et, tous 2 passèrent toute la journée à veiller sur les moutons et, les chèvres, toujours en compagnie de Vagabond, qui avait une oreille attentive.

Avec le temps, Aidèsse avait appris à siffler aussi bien que le petit berger à traire les chèvres,

elle avait appris à regrouper le troupeau, à reconnaître les animaux qui vivaient en pleine nature et, il en était ainsi, chaque jours du premier jour du printemps et ce, avant l’arriver de l’hiver.

Son grand-père lui avait appris à nourrir les lapins et, les cerfs qui allaient se réfugier sous l’immense sapin près de leur chalet, surtout quand l’hiver était très rude.

Ainsi, les animaux pouvaient se nourrir à l’abri des fortes tempêtes hivernales et, y rester autant qu’ils le souhaitaient.


Quand la fin de l’automne arrivait, le petit berger échangeait son beau et, grand troupeau avec ses crayons et, ses livres car, il allait à l’école tout l’hiver.

Mais, même s’il n’aimait pas beaucoup aller à l’école, il le fallait bien, c’était comme cela,

il fallait bien qu’Augustin étudie, au moins un peu.

Cinq belles années se sont passé et, cette année là, la fin de l’hiver semblait ne pas en finir, Aidèsse s’ennuyait terriblement car, la pluie ne cessait pas de tomber.

Son grand-père eut une idée lumineuse et, lui fit une promesse, dès que la pluie cessera de tomber,

il lui montrerait comment fabriquer une petite montgolfière.

Et, par un joli matin, Aidèsse fût réveillé par un joli petit oiseau qui entra dans sa chambre et, tout en sautillant sur l’édredon, le petit oiseau semblait très content de lui annoncer la venue du printemps.

Ce matin là, Aidèsse se souvenait de ce que son grand-père lui avait dit, et, pleine d’enthousiasme, elle sauta de son lit avec une agilité telle, qu’on aurait cru qu’elle volait comme une petite fée.

Elle se mit à courir jusqu’à l’abreuvoir pour y faire sa toilette et, rentra aussitôt prendre son petit déjeuner avec son grand-père.

Et, pendant le petit déjeuner, elle rappela à son grand-père ce dont il lui avait dit.

Dis papé, tu te souviens de ce que m’a dit avant que la pluie ne cesse de tomber ?

Son grand-père lui sourit avec une immense tendresse, et, lui répond : oui ma jolie petite fille,

je n’ai pas oublié.

Mais d’abord, finis de boire ton lait et, manges tes tartine de confiture, après, nous nous occuperons de cela.


Après le petit déjeuner, ils allèrent dehors et, tous deux se sont assis sur le banc sous la grande fenêtre du chalet là, son grand-père attendit quelques secondes, et, dit à sa petite fille :

Aidèsse, ma petite chérie, vas vite me chercher un petit panier et, des pinces à linges en bois,

moi, je vais aller chercher du reste.

La matinée s’était passée et, enfin, la petite montgolfière fût faite, il ne manquait plus qu’une dernière chose à faire.

L’homme de la montagne dit à sa petite fille : à présent, vas vite me chercher une feuille de papier et, un crayon.

D’une traite, Aidèsse couru dans le chalet, et, ramena à son grand-père la feuille de papier et,

le crayon, et, il dit à sa petite fille : voyons …. qu’allons nous écrire sur cette feuille de papier ?

Oh, je sais, une jolie poésie ! J’adore les poésies ! : Lui répondit spontanément sa petite fille.

Oui, pourquoi pas, c’est une idée. : Lui dit son grand-père en lui souriant tendrement.

Mais, au moment où l’homme de la montagne s’apprête à réfléchir pour trouver les mots à écrire, Aidèsse, l’interrompit soudainement et, lui dit : non, attends papé, j’ai une meilleure idée !

Ah oui, laquelle ? : Interroge son grand-père.

Je sais ce qu’on va écrire, on va écrire, mon histoire ! : Lui dit-elle toute joyeuse.

Soudain, une question travers l’esprit de Aidèsse et, demande à son grand-père : mais, papé,

dis-moi, pourquoi va t-on écrire quelque chose ?

Je vais t’explique, nous avons fabriqué une petite montgolfière pour envoyer un petit message…..

Son grand-père n’a pas fini de lui expliquer le but de la petite montgolfière, que sa petite fille l’interrompe à nouveau spontanément.

Mais, je ne comprends pas, pourquoi est-ce-qu’on écrive un message, qu’on doit mettre ans la petite montgolfière et, qui le va lire d’abord ?

Son grand-père se mit a rire de bon cœur et, lui explique :

Nous allons attendre que le vent souffle pour lâcher dans l’air nôtre petite montgolfière et, elle va voler au grès du vent…..

Aidèsse interrompit à nouveau son grand-père et, lui dit : Oui mais, elle va partir loin et, nôtre petite montgolfière se perdra quelque part.

Tu sais ma petite chérie, si tu m’interrompes tout le temps, tu ne sauras pas à quoi peut bien servir la petite montgolfière, allons, laisses moi finir de t’expliquer veux-tu.

Le vent va transporter la petite montgolfière, peut-être que le vent soufflera plus fort à certains endroits ou à certains moments et, peut-être que la petite montgolfière va s’accrocher sur les branches d’un arbre mais, ce n’est pas grave.

Peut-être qu’un jour, quelqu’un trouvera cette petite montgolfière et, lira le petit message,

cette personne réparera nôtre petite montgolfière, écrira à son tour un petit message et, la laissera s’envoler au grès du vent.

Dis-moi ma petite chérie, tu comprends ?

Et, qui sait, le petit message donnera peut-être envie à une autre personne de réparer à nouveau

la petite montgolfière, si elle devait s’abîmer pendant son voyage et, nôtre petite montgolfière volera et, voyager encore.

Et, quand nôtre petite montgolfière aura atterrit à un autre endroit, se sera une autre personne qui va peut-être la réparée encore une fois et, un nouveau message sera mis dans la petite montgolfière et, comme cela, la montgolfière fera un long voyage pour apporter un peu d’espoir aux gens qui en ont besoin.

Ca y est ma petite chérie, est-ce-que tu comprends maintenant le but de la petite montgolfière ?

Oui papé, j’ai bien compris cette fois ! : Lui répond sa petite fille le cœur bondissant de joie.

Alors, dis-mois ma petite chérie, que veux-tu écrire dans ce petit message ?

Il ne faut pas qu’il soit trop long tu sais. : Lui expliques son grand-père d’une voix tendre et, amusée à la fois.

Hum, voyons ….. j’aimerais écrire mon histoire mais, comme une poésie, ce serait joli, qu’en penses-tu papé ? Lui répondit-elle tout en réfléchissant.

C’est une belle idée ma petite chérie. : Lui répond son grand-père.

Et, voici, ce que dit le petit message de petite Aidèsse :


Bonjour, je m’appelle Aidèsse !


Depuis que je suis arrivée dans le grand chalet de mon grand-père que j’aime de tout mon cœur,

je suis heureuse comme jamais je ne l’ai été.

J’étais perdue et, mon grand-père m’a aidé à me retrouver.

Je sais maintenant que je vais toujours restée ici et, je vais vivre dans mon chalet tout près de ma belle montagne avec mon grand-père tout le reste de ma vie.

Parce qu’ici maintenant c’est chez moi et, c’est ma maison.

Mon grand-père m’a tout appris, c’est grâce à lui si je connais tous les animaux de ma montagne,

j’ai appris le bruit du vent, la chanson de la pluie et, je sais même écouter les arbres quand le vent souffle très fort.

Alors, si tu te sens malheureux, n’oublies pas, peut-être qu’un jour, tu trouveras une petite montgolfière quelque part et, peut-être qu’un jour, quelqu’un te redonnera envie d’aimer la vie.

Tu sais, avant, tout le monde appelait mon grand-père : l’homme de la montagne, mais, maintenant, c’est à moi que tout le monde a donné un nom,, ici, tout le monde m’appelle :

la petite fée de la montagne.

Alors, si par hasard un jour, tu trouves une petite montgolfière et, si jamais tu la vois abîmée, répares la, écris un petit message ou une poésie parce qu’à présent, c’est à ton tour de faire voyager la petite montgolfière pour que l’espoir voyage dans le monde entier !


Swenty


 

Commentaires

Swenty le 03-08-2023 à 00:30:16
Merci beaucoup Lyra

Je suis ravie que tu ais apprécié mon histoire

Mais, je suis honteuse, en me relisant ce soir, je me suis rendue compte que j’ai fait pas mal de faute d'écrit et, inattention (causé par la fatigue visuelle)

Belle nuit d'été à toi et, merci encore tes commentaires, qui sont un plaisir à lire tout comme tes poésies

Amicalement

Swenty
LyraPegazus le 02-08-2023 à 15:34:00
Bonjour Swenty, voici une histoire originale et remplie de tendresse tant pour la nature qu'entre cette petite et son grand-père. L'espoir est une jolie note finale.

Tu as évoqué les orages en montagne. C'est bien là que je les préfère, Chez ma grand-mère maternelle j'adorais lorsque le temps tournait à l'orage, ça résonnait dans les montagnes. C'est bien que tu laisses parler ton imagination et que tu nous permettes de partager tes écrits.

Je te souhaite une très agréable journée

avec je te le souhaite un grand soleil. Amicalement.