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Par une magnifique journée ensoleillé, un scorpion se promène tranquillement dans les herbes hautes, non loin d’une magnifique rivière.

Au bout d'un certain, il remarque un beau cygne qui nage paisiblement sur l'eau et, ne peut le quitter des yeux tant il est sublime.

Quand soudain, il se rapproche du bord de la rivière et, appelle au loin le cygne, celui-ci tourne la tête, voit le scorpion et, sans lui répondre, continue de nager.

Mais, le scorpion insiste : ô beau cygne, j'aimerais te parler.

Serais-tu bien aimable pour m’accorder un peu de ton temps ?

Le cygne se rapproche du scorpion, ne dit rien mais, il reste toutefois, sur l'eau puis, puis, le scorpion lui dit :

Je te remercie d'être venu jusqu'à moi beau Cygne.

Vois-tu, il me faut aller de l'autre côté de cette rivière mais, l'ennui, c'est que je ne sais pas nager.

Mais, j'ai remarqué, que toi, tu sais nager et, quand je t'observe, j'ai l'impression de voir un plume légère caresser la surface de l'eau.

Le cygne dit alors au scorpion : que me veux-tu ?

Le scorpion lui répond : ô majestueux cygne, je ne voudrais pas t'obliger mais, il faut que j'aille de l'autre côté de cette rivière.

Et, je me demandais, si tu voulais bien m'y conduire.

Le cygne lui répond : me crois-tu sot pour penser que je ne devine pas ce que tu as l'intention de me faire.

Saches que je ne te conduirais pas là où tu le souhaites et, il est inutile d'insister, je ne changerais pas d'avis.

Ô beau cygne, tu t'égares là, si tu crains que je ne te piques, alors, je vais te rassurer tout de suite, cela ne se produira pas, je t'en fais la promesse.

Mais, le scorpion insista longuement, jusqu'à ce que le cygne finisse par céder.

Alors, le scorpion sauta sur le dos du cygne et, le cygne nagea pour rejoindre ainsi, l'autre côté de la rivière.

Mais, peu avant d'arriver sur la rive, le scorpion pique le cygne.

Le cygne ne comprend pas et, dit au scorpion : pourquoi m'as-tu piquer ?

J'ai quand même accepté de te conduire là où tu le souhaitais pourtant.

Le scorpion lui répond : oui et, je t'en remercie mais, vois-tu, c'est plus fort que moi, c'est dans ma nature.

Swenty